FESTIVAL

Séquence Court Métrage

De l’Amérique à l’Asie en passant par l’Europe, le festival Séquence court présente cette année une nouvelle édition fournie et hétéroclite. Temps forts dédiés à la nouvelle création et détour panoramique de la production internationale de film d’animation, Séquence-court varie les genres et déniche pour nous quelques pépites cinématographiques à l’originalité déroutante. Et parce que les grands ont aussi commencé petits, le festival consacrera la soirée « Courts de grands » aux premiers films de Jean-Jacques Beinex, Rachid Boucharab, Eric Rochant et Cyril Collard.
A ne surtout pas manquer, la soirée d’ouverture sous influence berlinoise. Au programme, projection de courts-métrages et DJ set en partenariat avec les artistes d’Overdrive.

Festival Séquence Court métrage, du 21 novembre au 1er décembre.Tarifs : de 0 à 7 euros. Consulter tous les lieux du festival ici.

DANSE

Dans les pas de Noureev

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Danseur d’exception, exigeant et charismatique, le théâtre du Capitole rend hommage à celui qui aura laissé une empreinte durable sur l’univers de la danse. Pour les vingt ans de sa disparition, le ballet du Capitole propose cinq extraits du répertoire de ce monstre sacré de la danse, dont La Bayadière, œuvre testament qu’il aura porté jusqu’à la fin, malgré sa santé déclinante. Noureev chorégraphe, c’est aussi les grands chefs d’œuvre du répertoire russe revisités, à l’image du Lac des cygnes de Marius Petipa que Noureev admirait. Et avant de redécouvrir le Noureev chorégraphe, vous pouvez dès à présent apprécier le danseur à travers l’exposition Noureev réalisée en partenariat avec la Fondation Rudolf Noureev et le Centre national du costume de scène le théâtre du Capitole.

Dans les pas de Noureev, Théâtre Garonne.
Représentations du 28 au 1er décembre. Réservations sur place ou par téléphone au 05 61 63 13 13. Tarif: à partir de 16 euros.
Exposition jusqu’au 28 novembre. Pour visites inscriptions en ligne. Renseignements au 05 61 22 31 32

EXPOSITION

Au gré des instants, Jean-Luc Feixa

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« Synonyme d’ennui et de fatalité pour certains, la vie quotidienne est, à mon sens, source de créativité infinie pour celui qui prend le temps de la contempler. »
Journaliste, Jean Luc Feixa se dit aussi voyageur et photographe. Au fil de ses « déambulations », il immortalise les scènes de la vie ordinaire à la façon de celui qui sait poser son regard et observer, repérant « l’anecdote qui transformera l’anodin en une fresque photographique aux belles harmonies ». Laissant opérer « la magie du hasard  », ses clichés rendent compte de ces épisodes fortuits de la vie ordinaire qui ont attiré son attention pour leur poésie ou leur incongruité.

« Au gré des instants », Galerie Passage à l’art. Jusqu’au 29 novembre. Gratuit.