Cette année, la Marche des fiertés, fête ses 50 ans. À cette occasion, découvrez le dossier spécial d’Univers-Cités sur la Pride de Toulouse.
C’est parti pour le 25ème anniversaire de la Marche des fiertés dans la Ville rose ! De nombreux événements et animations au programme ce week-end. On fait le point pour vous dans notre fil rouge spécial Pride.
Ce week-end s’annonce un peu spécial, on célèbre les 25 ans de la Marche des fiertés à Toulouse, 25 ans de lutte et revendications. Ce sont aussi les 50 ans des tristement célèbres, émeutes de Stonewall qui lancèrent le mouvement LGBTQI+ aux Etats-Unis.
Après un mois de Festival des fiertés, les célébrations finales commencent dès Vendredi 7 juin. Un concert gratuit est organisé à l’hôtel de Région, entre 19h30 et 23h30. La place est gratuite, toutefois l’inscription est obligatoire.
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La majeure partie des festivités se concentreront Samedi 8 juin. Un village des fiertés se tiendra place du Capitole dès 11 heures. Une première à Toulouse ! Il regroupe 40 associations et partenaires de la Marche des fiertés. La parade s’élancera du village gay à 14h30 après le traditionnel discours associatif.
La fête jusqu’au bout de la nuit
Pour célébrer l’événement, de nombreuses soirées sont proposées Samedi 8 juin 2019. Le café Adjacent (15 allées Jules Guesde) propose un before tout comme le Bear’s Bar (44 Bvd de la gare) et le G-Bar à Port Saint Sauveur. Le Bar de l’Autruche (rue André Mercadier) et le Neska Polita (14 rue de l’étoile) sont eux aussi ouverts jusqu’à 3 heures du matin pour accueillir les fêtards.
Pour prolonger la nuit, rendez-vous au Limelight (23 bis Bvd Riquet) ou au G-Boy (56 Port Saint Sauveur) de minuit à 7 heures du matin. Ambiance garantie !
L’histoire d’un long processus
Pour arriver à cet anniversaire, il y a un combat. Celui des associations et des militants. Presqu’une décennie de lutte partout en France et dans le monde. La société évolue, en 2013 le mariage pour tous était une avancée.
Pour aller plus loin, l’interview de Patrick Fontanel sur la structuration du mouvement à Toulouse.
Aujourd’hui le combat doit persister alors que les violences envers les homosexuels et les personnes transgenres augmentent.