Refuge à court ou moyen terme pour les sans-abris et certains militants, les squats à Toulouse sont légion. Mais comment s’y prend-on exactement pour ouvrir un tel lieu, l’occuper, et surtout : le garder ?
Quartier Roseraie et Croix de Pierre, Sarah Baqué et Paul Conge ont suivi deux collectifs, l’un anarchiste (le CREA), l’autre réformiste (le CEDIS), dont les méthodes diffèrent. Plus que de simples squats, les bâtiments réquisitionnés donnent vie à des organisations collectives… Au rythme des expulsions.