C’est une institution qui est sur le point de fermer, place du Capitole. Ouverte en 1917, la célèbre librairie Castéla, du nom de sa première propriétaire, est frappée à son tour par la spéculation immobilière, déjà responsable de la fermeture du Café Mon Caf’ il y a quelque temps. Le magasin, tenu par la famille Blanc depuis quarante-cinq ans, se voit imposer par le propriétaire des murs le paiement d’un loyer mensuel de 800 000 euros, soit quatre fois le montant du précédent. Ces exigences financières vont entraîner la disparition d’un endroit apprécié et connu d’une grande majorité de Toulousains. Ceux-ci ont confié leurs impressions au micro d' »Univers-Cités ».
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